"The Apotheosis of Josquin des Prez and Other Mythologies of Musical Genius". 1450/1455 – 27 August 1521), sering disebut hanya Josquin, merupakan seorang[2] komponis Renaisans berkebangsaan Prancis. C'est la technique utilisée par Josquin au début de sa carrière dans la messe L'Ami Baudichon, probablement sa première messe[21].
Il a même contribué au développement d'une nouvelle forme, le motet-chanson[w 4], dont il a laissé au moins trois exemples. La technique de la paraphrase diffère de la technique du cantus-firmus par l'origine du matériel qui, bien qu'il se compose toujours d'un original monophonique, est souvent embelli par des ornements. (1913). Josquin est né dans une région placée sous l'autorité des ducs de Bourgogne et probablement dans le Comté de Hainaut (Belgique et France moderne), ou immédiatement après la frontière dans la France actuelle, puisque plusieurs fois dans sa vie il a été considéré légalement comme Français. On trouve parmi celles-ci Scaramella, El grillo, et In te domine speravi.
C'est sans doute avant de quitter l'Italie qu'il a écrit l'une de ses compositions de musique profane les plus célèbres, la frottole El Grillo (Le Grillon). Vers 1466, peut-être à la mort de son père Gossart Lebloitte dit des Prez, Josquin est désigné comme leur héritier par son oncle et sa tante, Gilles Lebloitte dit des Prez et Jacque Banestonne. Entre els seus deixebles s'hi compten els compositors belgues Benedictus Ducis [1] i Jean Richafort, el francès Jean Mouton i el flamenc Nicolas Gombert,[2] el també flamenc Appenzeller, fou un gran admirador seu, però no es té constància que fos alumne seu.[3].
Dans les messes-parodies, le matériel d'origine n'était pas une simple ligne mélodique mais une partition entière, souvent celui d'une chanson profane à plusieurs voix ou un motet.
De 1486 et 1494, il fut attaché à la chapelle pontificale, mais voyagea beaucoup : Milan, Modène, Nancy, Paris, Plaisance … Un temps musicien à la cour du roi de France Louis XII, il fut maître de chœur de l'église royale (maintenant basilique) de Saint-Quentin en 1509. Font partie de ces compositions le célèbre Miserere[w 26], écrit à Ferrare en 1503 ou 1504 et très vraisemblablement inspiré par l'exécution récente du moine réformiste Jérôme Savonarole[39], Memor esto verbi tui, basée sur le psaume 119, et deux arrangements du De profundis[w 27] (psaume 130), souvent considérés comme les plus significatifs de son génie[37],[40]. Pour sa réception, Josquin a, dit-on, écrit un motet sur le texte Benefecisti servo tuo, Domine pour montrer sa gratitude envers le roi[14].
La résidence à Ferrare au début des années 1480 pourrait expliquer la Missa Hercules dux Ferrariae composée pour Ercole d'Este bien qu'elle ne corresponde pas stylistiquement aux œuvres de la période 1503-1504 à laquelle on situe habituellement Josquin à Ferrare.
Josquin fut un pionnier dans l'agencement polyphonique de psaumes, qui représentent une large proportion des motets de ses dernières années.
Le style de Josquin a évolué vers la maturité pendant cette période. "A Study in Style, or Josquin or Not Josquin: The. Au cours de ces dernières années, de nombreux spécialistes se sont préoccupés de retirer des œuvres du corpus de Josquin pour les réattribuer à ses contemporains. De même qu'à Milan il avait reçu l'influence de la musique profane, à Rome il affine sa technique de la musique sacrée. Une autre technique qu'il a parfois utilisée était de prendre une chanson populaire et de l'écrire comme un canon avec elle-même, en deux voix de milieu, puis d'écrire un nouveau matériel mélodique au-dessus et autour pour un nouveau texte : il a utilisé cette technique dans l'une de ses plus célèbres chansons, Faulte d'argent, chantée par un homme qui se réveille au lit avec une prostituée, fauché et incapable de la payer.
Va compondre en diversos gèneres, incloent-hi motets, misses i cançons franceses i italianes. Peu de compositeurs avant Josquin avaient pratiqué de telles mises en musique[38]. Le duc choisit cependant Josquin[1]. La Missa Mater Patris, dans laquelle n'apparaît plus aucun cantus-firmus, est probablement la première vraie messe-parodie à avoir été composée[32]. Bien que l'on retrouve les différentes techniques dans chacune des compositions, on peut classer les messes de Josquin selon les catégories suivantes[23] : La plupart de ces techniques, en particulier la paraphrase et la parodie, ont été fixées pendant la première moitié du XVIe siècle ; Josquin était réellement un pionnier, et ce qui a été perçu comme un mélange de ces techniques par de récentes analyses est en réalité le processus par lequel elles ont été créées[21].